Prisonnier du Rhône.


Vengeance!

Je venais de bonder la veille mon nouvel ami du Sud de la France.
Dès la fin de cette superbe session, ma victime m'avait fait savoir que je n'échapperais pas à une délicieuse vengeance!
Bref, après une bonne nuit de repos, suivie d'un petit déjeuner ma fête pouvait commencer!

Une fois tous deux vêtus de lycra, il ne restait plus qu'a débuter le bondage.
Ainsi, sans plus tarder, mes mains furent menottées, et, mes bras solidement attachés.

Ensuite, je fut prestement allongé sur le lit.
Mes jambes et chevilles furent a leur tour ligotées; Pas question d'aller se promener!

Evidemment, mon bondeur ne pouvait pas - Tout comme moi - me laisser la possibilité de parler.
Donc, ma bouche se retrouva rapidement recouverte de toîle isolante.
Ensuite une chaussette de foot recouvrit le tape, une autre servit pour me bander les yeux.
A partir de ce moment, j'étais prêt pour passer un fameux moment, sans pouvoir bouger ou parler; Je n'avais plus que le droit de subir sans pouvoir l'éviter!


"MMMMMMMMMMMF"

Je ne suis pas resté seul très longtemps.
Mon bondeur s'allongea à mes cotés pour que je ne mijote pas seul.

Le temps passait, il était temps de passer à des choses sérieuses.
Pas de soucis que je puisse éviter ce qui m'attendait!

Les caresses pouvait commencer, les tetons d'abord, puis, les parties sensibles suivirent.
Je ne pouvais que gigoter et gémir en vain.
Pas de risque de troubler le repos des voisins!

L'excitation devenait de plus en plus forte, je n'ai pas pu m'empêcher de mouiller.

Bien entendu, mon géolier n'avais pas l'intention de m'octroyer le moindre répit!

Les caresses, chatouilles, et, tripotage continuerent de plus belle; Le tout sans que je ne puisse bouger ni parler.
Je ne me rappelle plus combien de temps tout cela a duré, mais, je ne pouvais que subir étant réduit efficacement à l'immobilité et au silence le plus complet!

Enfin, je sentis mon bondeur introduire le vibreur dans mon collant.
Je savais déjà ce qui allait se produire!

Il était clair que mouiller ne suffisait pas; Mon maître de cérémonie avait décidé que je devais larguer ma purée dans mon collant.
Il est vrai que je lui avait fait déguster la même chose la veille!

Le vibreur entra en action, je ne pouvais que pousser des "Mmmmmmmf" de plus en plus forts, mais, les cordes et le bâillon garantissait ma plus parfaite docilité façe à la délicieuse torture!

Ce qui devait arriver, arriva.
J'avais senti la sève monter, et, bientôt je n'ai plus pu me contenir et expulsait mon foutre dans mon collant.
Mon compte était bon!

Ce fut une session particulièrement réussie; La vengeance fut magnifique!

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