Le cycliste de Lille.


Lille décembre 2009...

L'hiver est proche, et, cela se sentait; En attendant mon partenaire, je suis resté confiné dans ma voiture histoire de ne pas chopper un rhume.
Il me fallait donc patienter, sachant que ma future victime venait de fort loin, mais, au bout du compte, le cycliste me sonna comme quoi il est arrivé.

Le temps de prendre tout mon fourbi, je me suis dirigé vers l'hotel ou nous faisons connaissance.
Force est de constater, qu'il est comme sur les photos; Un visage sympa, très souriant, et, présente bien.
Il ne restait plus qu'a monter dans sa chambre.

Le temps de débaler le matériel et les vêtements, de fermer la porte avec l'écriteau "Ne pas déranger" et nous nous changions.
Lui portait un lycra et sweat noir, moi j'étais en bleu.

La séance.

Mon petit coté fétichiste se manifeste; Aussi j'ai obligé le cycliste a enfiler de longs bas comme moi par dessus son collant.
Et puisque l'on est dans les chaussettes, restons-y; Histoire de confiner mon prisonnier, je l'ai aussi obligé a enfiler une paire de chaussettes au niveau de ses poignets; Cela permet d'éviter tout contact entre la peau et la corde.
Le ligotage pouvait commencer.

Une première corde lui lia les mains derriè le dos, une seconde d'une dizaine de mère immobilisa ses bras.
Je n'avais plus qu'a inviter mon captif a se coucher sur le lit, et, je me suis attaqué à ses chevilles.



Les jambes du cycliste furent attachées aussi.
Je me suis arreté là au niveau ligotage, mais je me suis juré par la suite de rajouter d'autres cordes la prochaine fois que je le garoterai!

Mmmmmmmmf.

Ne concevant pas (Ou difficilement) un ligotage sans bâillon, il ne restait plus qu'a m'assurer du silence de mon prisonnier.
Je pris donc un malin plaisir - Après l'avoir ordonné de garder sa bouche bien fermée - a décorer le bas du visage de mon captif de plusieurs tours de toîle isolante.
Le cycliste se laissa faire...
Pour achever le travail, et, pour une question d'éstétisme, le recouvrai la toîle isolante d'un de mes vieux lycras.
Le bas du visage était recouvert du menton jussqu'au bas du nez.


Je me décidais a laisser mijoter mon captif car il était fort excité à ce moment.
Je me suis donc allongé à coté de lui, et, nous avons patienté tranquillement quelques minutes.
Visiblement, mon prisonnier se sentait bien dans ses cordes.



La bougeotte.

Après être restés allongés, je me suis décidé a caresser mon captif en commencant en douceur.
Ce qui comtais le plus - A mon sens - c'était de bien prendre son temps.


Mon prisonnier apprécia énormément mes mains baladeuses; Il commencait a remuer tout en gémissant de plaisir.


Malgré ses mains liées il ne se priva pas de me faire également plaisir.



A un moment donné, j'ai tourné le cycliste sur le ventre, et, je me suis décidé a lui plotter les fesses histoire qu'il se calme un peu...


La répit fut de courte durée.


Le cycliste prenait visiblement du plaisir, il gigotait comme ce n'était pas permis; Visiblement c'était par jeu.


Entre temps, de nombreuses minutes s'étaient écoulées.
Il était temps de passer a des choses plus cocasses.

L'apothéose.

Je commencais d'abord a resserrer les cordes, histoire que le captif reste bien sage pour la suite des opérations.
Il ne restait plus qu'a sortir un joli petit vibreur de mon sac, et, le déposer à coté de mon bondé histoire qu'il sache a quel sauce j'allais le cuisiner.


Je mis le vibreur sous le lycra, et, contre son sexe.
Je réajustai le lycra faisant office de bâillon pour que seuls ses yeux ne soient pas couverts, j'enroulai aussi une corde autour de la plante de ses pieds.
Il ne restait plus qu'a mettre le vibreur en route, ce qui fut fait prestement.


Un "Mmmmmmmmf" de surprise confirma la mise en route du vibreur.
Il ne restait plus qu'a voir combien de temps, le cycliste allait pouvoir tenir et se retenir.

La sensation augmentait, je m'en apercu en voyant mon prisonnier s'agiter; Heureusement que les cordes bien serrées limitaient fortement ses mouvements!



Mon prisonnier gémissait de plus en plus fort, mais le bâillon que j'avais pris un malin plaisir a soigneusement nouer étouffait le moindre de ses cris.

Après une série de "Mmmmmmmmmmmm" de plus en plus fort, le cycliste se cabra et lacha sa purée dans son collant.
J'arretais le vibreur avant que cela ne devienne trop fort.

Le calme revint, je laissais le cycliste encollanté ligoté quelques minutes avant de le liberer.


La séance avait duré une bonne heure, le cycliste avait été ravi de cette expérience.
J'ai juste regretté de ne pas avoir profité de l'immobilité de mon captif pour le chatouiller, mais, ce n'est que partie remise.
Je sais aussi que lors de notre prochaine rencontre, j'ai interet a bien serrer les noeuds si je ne veut pas me retrouver a mon tour prisonnier!

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